Nos morts pour la France

78 Tourtous ont servi sous les drapeaux durant la Grande Guerre. Onze d’entre eux en sont morts :
– Benoît BERGER : né le 02 décembre 1887 à La Tourette, soldat de 2ème classe au 216ème régiment d’infanterie. Mort pour la France le 27 septembre 1914 à l’hôpital temporaire n°10 de Vitré (Ille et Vilaine). Mort suite de blessures de guerre.
– Pétrus Orelu : né le 02 mars 1891 à Saint Nizier de Fornas, soldat de 2ème classe au 16ème régiment d’infanterie. Mort pour la France le 17 septembre 1918 à Dreslincourt (Oise). Tué à l’ennemi.

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Notre blason La Tourette

« D’or au lion de sinople armé, lampassé et couronné de gueules »

Le lion est le roi des animaux, fort, courageux, noble. Plus que tout autre animal, il est admiré par l’homme. Ainsi, depuis des temps immémoriaux, il est considéré comme un symbole de Justice et de bravoure.
Il est représenté rampant, c’est-à-dire debout sur ses pattes arrière, symbole de puissance, de force et de courage.
Ses griffes (« armées »), sa langue (« lampassée »)* et sa couronne (« couronnée ») sont rouges (« gueules »), couleur symbolisant l’amour et le patriotisme.

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Histoire du curé François Chavanne

François Chavane naît à Izieux en 1749. Il est élève des Oratoriens de Notre-Dame de Grâce et entre au Grand Séminaire Saint-Irénée de Lyon. Il est ordonné prêtre en 1774. Il est vicaire à Saint-Maurice-surDargoire, puis prêtre sociétaire de Saint-Chamond.
En 1781 il est nommé curé de La Tourette.
Comme plusieurs de ses confrères du Haut-Forez,il fait partie du courant janséniste avec les idées et les mœurs inspirées du jansénisme de l’époque.

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Un peu d’histoire

Il est signalé en 1153 un prieuré à La Tourette dédié à Saint Jean Baptiste appartenant à l’abbaye d’Ainay.
En 1225, c’est le prieur de La Tourette qui est collateur de la cure de l’église paroissiale et qui nomme le curé.
D’après la visite pastorale de 1378-1379, le couvent est proche de la ruine.
A partir de 1390 on trouve de nombreux forgerons à La Tourette, ainsi que plusieurs tisserands.
Au XVIe siècle, trois grosses fermes semblaient prédominer sur le dizaine de petites autres existantes.
Des travaux d’agrandissement de l’église sont effectués.
Les constructions des XVIIe et XVIIIe siècle sont inexistantes, tout au plus s’opère-t-il à cette époque des remaniements.
Entre 1778 et 1813, il y a au moins 15 tisserands dont certains étaient patrons ( comme André Peyrard dit « Maître » ou « marchand tisserand »).

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Histoire prieuré La Tourette 

L’église de la Nativité Saint Jean Baptiste de La Tourette

Prieuré bénédictin mentionné pour la 1ère fois en 1153. Les moines y suivent la règle de Saint Benoît de Nursie rédigée au 6e siècle. Il dépend de l’abbaye d’Ainay à Lyon jusqu’à la Révolution.
La nef de l’église a été construite au XII e siècle.
En 1225, Le prieur de La Tourette est collateur de l’église paroissiale. A cette occasion il est signalé 50 communiants en « l’église parrochialle » Saint Jean Baptiste de La Tourette. Le prieur de Roziers qui est Messire Marc Antoine, religieux d’Esnay préside la dite cure.
Les bâtiments sont proches de la ruine lors de la visite pastorale de 1378-1379. Ils ont été reconstruits à la fin du XV e ou au début du XVI e siècle. Puis restaurés au XVIII e siècle (fenêtres).

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